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Dilemme sur comment se nourrir ?
Comment manger ? Quel courant suivre ? De plus en plus de personnes se posent cette question.
Dans la multitude de théories qui vous guident pour mieux manger, la plupart perdent pied car ces théories semblent au premier abord contradictoires et suivant des priorités différentes.
Et pourtant, bien manger semble une priorité de plus en plus consciente chez nous.
Comment choisir ce qui est bon pour nous ? Je vais essayer de vous donner quelques pistes, selon mes recherches et mes expérimentations, en sachant que tout cela est très relatif, d’où l’importance de prendre du recul par rapport à tout jugement dans ce que nous émettons (moi inclue).
Quels sont les critères à prendre en compte pour manger ? Qui écouter ? Petit essai de réponse.
Il y a l’unicité de chaque. De + en +, la recherche médicale actuelle met en évidence le lien entre une pathologie et le profil unique bactérien et digestif du sujet. Nous sommes en mesure et nous le sentons de + en + qu’en restructurant un comportement, en équilibrant le profile émotionnel, en dissolvant les capsules traumatiques nous sommes capables de changer la plasticité de notre cerveau, créer davantage de cellules souches, changer la configuration bactérien de notre ventre.
Mais ceci peut s’avérer pas suffisant, car les bactéries se reproduisent plus vite que nous et il y a besoin des fois d’intervenir du bas vers le haut, je veux dire changer la structure bactérienne digestive, détruire le film intestinal, augmenter l’absorption dans les zones essentielles de l’intestin grêle.
Nous contrôlons les aliments, leur quantité et leur mélange entre eux, ainsi que le type d’énergie que cela procure, de préférence nous apportons le complément de ce que nous n’avons pas et nous essayons de réduire l’apport de ce que nous avons en trop.
Il y a plusieurs théories là-dessus, les groupes sanguins, la théorie diététicienne classique qui s’apprend en France, la médecine chinoise, la médecine ayurvédique.
Des médecins comme Olivier Soulier apportent le sens des maladies et déséquilibres.
Des cancérologues gastroentérologues comme Bruno Donatini parlent de la fermentation qui met notre corps en agonie plutôt qu’en vie.
Je suppose qu’il y a encore des théories que je n’ai pas encore explorées.
Mais l’essentiel dans tout cela c’est la conscience du corps.
En développant une sensibilité d’écoute nous pouvons mettre une structure dans tout ce pêle-mêle d’information. Le corps avec son intelligence nous guide. Elle est immense.
J’ai réussi à retrouver la vue quand j’étais presque aveugle. J’ai arrêté des virus qui apportent le cancer. J’ai changé les symptômes de ma thyroïde, victime à 18 ans de l’explosion de Tchernobyl. Je suis en train de réguler le trop de feu de mes intestins, qui provient d’un trauma à la conception.
Vous pouvez prendre le pouls maintenant de votre configuration intestinale grâce a des instruments de mesure de l’air que vous sortez de vos poumons, qui a la signature de plusieurs bactéries qui dégagent du gaz en consommant ce que vous leur donnez. Cherchez un spécialiste près de chez vous et vous connaitrez exactement où vous en êtes par rapport à vos bactéries. Il pourra vous dire avant tout le monde si vous avez déjà un cancer ou si vous êtes à risque par rapport à cela ou des maladies auto-immunes ou les maladies si redoutables du cerveau (Parkinson, sclérose en plaques, Alzheimer).
La configuration intestinale se CORRIGE. Nous pouvons intervenir aujourd’hui à travers:
- notre alimentation
- des huiles essentielles imprégnées dans des champignons
- un travail sur le sens de la maladie ou du déséquilibre, l’émotionnel, relaxer le stress engendré dans le corps physique.
Je vous encourage à aller en prévention bien sur plutôt qu’en réparation.
Et ceci reste bien sur ma propre perception, imprégnée de mes propres croyances et de mes recherches.
Qu’elle vous soit inspirante pour ceux et celles à qui mes mots parlent.